
Pierre-Antoine
Je dois m’entrainer une à deux heures par jour pour apprendre à apprivoiser l’instrument et progresser régulièrement. Avec le temps, certains de mes voisins ont développé une allergie au jazz manouche, du coup je viens jouer dans ce magnifique parc pour ne pas les déranger. Certains me saluent et me disent bravo, d’autres ne me regardent pas et n’ont pas l’air d’apprécier plus que ça. Les enfants par contre, ils adorent et viennent parfois même danser !
Pierre-Antoine, Parc de l’Indépendance
Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?

Laura
« Ce moment magique de la rencontre entre une oeuvre et des spectateurs me manque terriblement. Il y a quelque chose qui se passe qu’on ne peut pas définir, c’est au-delà des mots. »

Julien
« J’ai toujours ressenti l’envie d’être indépendant. De créer mon propre projet, un lieu qui me ressemble. »

Célia
« Il faut se battre, il ne faut jamais se reposer sur ses lauriers. Il faut positiver, regarder devant. Au lieu de se plaindre on préfère garder notre énergie pour se projeter dans le futur ! »

Christophe
« Ma vraie ambition, c’est d’être heureux. On m’a dit que je manquais d’ambition, mais pour moi, l’essentiel, c’est de cultiver la positivité et de profiter de la vie en faisant ce que j’aime. On peut dire que je suis un handicapé heureux ! »

Sandra
« Quand je fais face à un échec, je me dis à chaque fois que c’est une opportunité d’un nouveau départ. »

Patricia
« Hier, j'ai réussi à ne pas regarder les infos. Ces dernières sont tellement pesantes, spécialement pour les gens de mon âge... »

Magaly
« Peu importe qui sont les gens, chacun·e mérite de pouvoir avancer dans sa vie sans se que l’on se soucie de son parcours. »

Caroline
« Je préfère concrétiser, sécuriser des petites choses sur un modèle d’amélioration continue plutôt que de tout révolutionner du jour au lendemain. »