
Nano
Passé un certain âge, tu commences à avoir envie de vivre un peu différemment. Quand tu vois comment la société fonctionne, tu prends du recul et tu te rends compte que les choses importantes ne sont pas forcément matérielles. J’ai été matérialiste, bien-sûr. Quand tu gagnes de l’argent, tu le deviens plus facilement. Pas automatiquement, mais tu as plus de chances de tomber là-dedans. Quand tu as 25-30 ans, tu as de l’argent, tu roules en grosse voiture… Tu montres que tu existes ! Mais après, tu réalises qu’en fait tu ne savais rien…
Nano, rencontré au marché de Morges
Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?

Julien
« J’ai toujours ressenti l’envie d’être indépendant. De créer mon propre projet, un lieu qui me ressemble. »

Laetitia
« Quand on est dans l’ambiance du voyage, je ne sais pas si on est conscient de tout ce que l’on fait. Avec le recul, ça parait un peu fou, trois étudiantes seules dans une aventure pareille, je ne sais pas si on le referait ! »

Margaux
« L’un des challenges que j’ai au quotidien, c’est de gérer mon emploi du temps. C’est parfois compliqué de prendre le temps de tout faire, et de vivre à fond ce qu’on fait sur le moment. »

Caroline
« Ma passion, c’est de rassembler des informations et de connecter les gens entre eux. »

Zoé
« Il y a bien-sûr parfois des petits moments où le moral n'est pas au top, par exemple après une compétition qui ne s'est pas déroulée comme prévu. Ma plus grande motivation dans ces moments-là, c'est d'analyser ce que j'ai fait de faux et de m'entrainer encore plus là-dessus. »

Maud
« Quand tu penses à l’immensité du monde, nos petits problèmes du quotidien peuvent paraître assez insignifiants. »

Virginie
« En Suisse comme ailleurs, on se rend compte que la majorité des gens sont bienveillants et qu’on met trop en avant ceux qui sont médisants ! »

Camille
« S'apprêter à mettre un enfant au monde, c'est une aventure et un voyage fait de joie et de réjouissance mais aussi de questions, d'inconnu. »

Manu
« Personnellement, je serais pour qu’on mange de la viande et du poisson une fois par semaine, mais qu’il vienne de chez nous et qu’il soit issu de la pêche responsable comme la pratiquent les pêcheurs suisses. C’est sûr que ça a un prix, mais c’est la valeur réelle de ces produits. »