
Sophie
Ce qui me fait me lever le matin, c’est le fait de savoir que j’ai la possibilité d’amener quelque chose de positif aux gens, de me dire que je peux partager avec les autres quelque chose qui m’aide moi-même à voir les choses du côté positif et la beauté de la vie. À travers ma pratique du yoga, j’essaie d’amener les gens à ressentir plus de gratitude, à être contents de ce qu’ils ont déjà, reconnaissants de tout ce qui est déjà là plutôt que de toujours chercher plus. De pouvoir se satisfaire avec moins mais d’être plus heureux. Le fait de me dire que je peux partager ça avec les gens tous les jours, c’est incroyable, tout comme voir ensuite comme cela leur fait du bien !
Sophie, créatrice de Samadhi Yoga à Morges, rencontrée au
Quai Igor-Stravinski
Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?

Caroline
« Ma passion, c’est de rassembler des informations et de connecter les gens entre eux. »

Virginie
« En Suisse comme ailleurs, on se rend compte que la majorité des gens sont bienveillants et qu’on met trop en avant ceux qui sont médisants ! »

Antoine
« Le plus important dans la vie ? Les autres ! Les amis, la famille, ceux de qui on s’entoure. »

Laetitia
« Quand on est dans l’ambiance du voyage, je ne sais pas si on est conscient de tout ce que l’on fait. Avec le recul, ça parait un peu fou, trois étudiantes seules dans une aventure pareille, je ne sais pas si on le referait ! »

Germain
« J’ai la chance d’avoir eu des parents très respectueux et une maman très présente avec mes 6 frères et soeurs. »

Nathalie
« Dans mon métier de kinésiologue, je rencontre beaucoup de gens et à chaque fois, il y a quelque chose qui se passe. »

Romain
« Dans mon entourage, il y a des gens considérés comme à risque et ça m'effraie un peu de voir que beaucoup de gens sont dans une sorte de déni et ne réalisent pas le risque qu'ils font courir aux autres. »

Lilou
« J’aimerais bien que tout le monde soit content, que les gens se parlent mieux, se pardonnent et s’aident. »

Emilie et Jonas
« J’ai l’impression de ne pas vraiment travailler alors qu’on passe tout de même dix heures par jour six jours sur sept, et ça c’est plutôt bon signe ! »