Nathalie
Ce qui me motive à me lever le matin, ce sont les rencontres que je vais faire dans la journée. Dans mon métier de kinésiologue, je rencontre beaucoup de gens et à chaque fois, il y a quelque chose qui se passe. Bien sûr, le but principal est de faire un travail ensemble, mais devant moi il y a avant tout une personne, avec son histoire et son individualité. Ce sont des surprises au jour le jour !
Il y a des rencontres qui me touchent beaucoup, avec des personnes de tous les âges : un bébé, un enfant, une personne âgée… des interactions qui touchent vraiment au coeur.
Et les meilleures rencontres, ce sont souvent les plus spontanées !
Nathalie, rencontrée dans la Grand Rue à Morges
Précédent:
« Noëlle et ChloéSuivant:
Vincent »Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?
Portrait
Kewin
« Ce qui me motive à me lever le matin, c’est les gens que je côtoie, de savoir que je vais les voir. »
Portrait
Noëlle et Chloé
« Habiter en pleine ville et devoir se promener sur des trottoirs, ce n’est pas pour nous ! »
Portrait
Thomas
« J’ai changé d’employeur et je me suis rendu compte que d’avoir du temps libre et une qualité de vie n’avait pas de prix ! »
Portrait
Nathalie
« Dans mon métier de kinésiologue, je rencontre beaucoup de gens et à chaque fois, il y a quelque chose qui se passe. »
Article
Laura
« Ce moment magique de la rencontre entre une oeuvre et des spectateurs me manque terriblement. Il y a quelque chose qui se passe qu’on ne peut pas définir, c’est au-delà des mots. »
Portrait
Nano
« Passé un certain âge, tu commences à avoir envie de vivre un peu différemment. »
Article
Tiziano
« J’aime les gens, les rencontrer, leur parler, les faire rire… et cette année, je souffre pas mal de ne pas pouvoir le faire. »
Portrait confiné
Caroline
« Ma passion, c’est de rassembler des informations et de connecter les gens entre eux. »
Portrait confiné
Romain
« Dans mon entourage, il y a des gens considérés comme à risque et ça m'effraie un peu de voir que beaucoup de gens sont dans une sorte de déni et ne réalisent pas le risque qu'ils font courir aux autres. »
Morges