
Nathalie
Ce qui me motive à me lever le matin, ce sont les rencontres que je vais faire dans la journée. Dans mon métier de kinésiologue, je rencontre beaucoup de gens et à chaque fois, il y a quelque chose qui se passe. Bien sûr, le but principal est de faire un travail ensemble, mais devant moi il y a avant tout une personne, avec son histoire et son individualité. Ce sont des surprises au jour le jour !
Il y a des rencontres qui me touchent beaucoup, avec des personnes de tous les âges : un bébé, un enfant, une personne âgée… des interactions qui touchent vraiment au coeur.
Et les meilleures rencontres, ce sont souvent les plus spontanées !
Nathalie, rencontrée dans la Grand Rue à Morges
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Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?

Fredo
« Ça a été un gros coup dur de voir mon rêve d’être musicien professionnel s’envoler à cause de mon âge. Alors je me suis remis à jouer pour moi, pour le plaisir. Je suis un musicien pas professionnel mais qui s’éclate et c’est ce qui compte ! »

Emilie et Jonas
« J’ai l’impression de ne pas vraiment travailler alors qu’on passe tout de même dix heures par jour six jours sur sept, et ça c’est plutôt bon signe ! »

Lilou
« J’aimerais bien que tout le monde soit content, que les gens se parlent mieux, se pardonnent et s’aident. »

Amélie
« Quand on parle de réussite, on pense souvent à l’aspect professionnel et au regard des autres, alors qu’au final les critères de notre réussite doivent être fixés par nous-même et personne d’autre. »

Emre
« Mon challenge, autant professionnel que privé, c’est d’amener du bien dans tout ce que j’entreprends. J’essaie de créer un monde meilleur à l’échelle locale.  »

Noëlle et Chloé
« Habiter en pleine ville et devoir se promener sur des trottoirs, ce n’est pas pour nous ! »

Karla
« Chacun·e devrait être libre de pouvoir s’exprimer, et que ses opinions soient respectées comme elle devrait respecter celles des autres. »

Manu
« Personnellement, je serais pour qu’on mange de la viande et du poisson une fois par semaine, mais qu’il vienne de chez nous et qu’il soit issu de la pêche responsable comme la pratiquent les pêcheurs suisses. C’est sûr que ça a un prix, mais c’est la valeur réelle de ces produits. »

Baka
« Quand à cause de la guerre tu es en danger de mort en permanence, que tu dois fuir ton propre pays pour te réfugier ailleurs, c’est vraiment difficile à vivre. Je ne le souhaite à personne. »