
Noëlle et Chloé
On a la chance de se trouver dans une région qui propose toutes les commodités mais avec la campagne à proximité : où qu’on soit, à Morges ou dans les villages aux alentours, il y a une offre d’activités en pleine nature. Habiter en pleine ville et devoir se promener sur des trottoirs, ce n’est pas pour nous !
Avec Chloé, on aime beaucoup la région car le choix de balades est énorme : forêts, rivières, étangs ou simplement le lac. On apprécie les efforts des communes pour préserver les lieux naturels, pour nous comme pour les générations futures.
Noëlle et Chloé à l’embouchure du Boiron, Morges
Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?

Célia
« Il faut se battre, il ne faut jamais se reposer sur ses lauriers. Il faut positiver, regarder devant. Au lieu de se plaindre on préfère garder notre énergie pour se projeter dans le futur ! »

Emilie et Jonas
« J’ai l’impression de ne pas vraiment travailler alors qu’on passe tout de même dix heures par jour six jours sur sept, et ça c’est plutôt bon signe ! »

Baka
« Quand à cause de la guerre tu es en danger de mort en permanence, que tu dois fuir ton propre pays pour te réfugier ailleurs, c’est vraiment difficile à vivre. Je ne le souhaite à personne. »

Katia
« Une partie de notre travail se fait dans l’ombre. Ce n’est pas le Saint-Esprit qui nous dit quand on doit saler ou passer le chasse-neige, c’est l’un d’entre-nous qui se lève à trois heures du matin pour aller vérifier l’état des routes ! »

Caroline
« Me baigner dans de l’eau si froide m’apporte un bien être énorme. Ca renforce aussi mes défenses immunitaires : depuis que je le fais, je ne suis quasiment plus jamais malade ! »

Julien
« Avec plusieurs fractures au niveau du crâne, mon cerveau a été atteint et j’ai dû réapprendre à faire des phrases, à me faire comprendre. »

Laetitia
« Quand on est dans l’ambiance du voyage, je ne sais pas si on est conscient de tout ce que l’on fait. Avec le recul, ça parait un peu fou, trois étudiantes seules dans une aventure pareille, je ne sais pas si on le referait ! »

Sandra
« Quand je fais face à un échec, je me dis à chaque fois que c’est une opportunité d’un nouveau départ. »

Nathalie
« Dans mon métier de kinésiologue, je rencontre beaucoup de gens et à chaque fois, il y a quelque chose qui se passe. »