
Zoé
Ce qui me pousse à donner le meilleur de moi-même au quotidien, c’est surtout ma passion pour le sport. J’aime le BMX, mon entourage et ma famille m’aident beaucoup et ça me pousse. Par exemple, c’est beaucoup plus motivant d’aller m’entrainer avec mon frère que seule. Je baigne dans cette ambiance sportive au quotidien !
Il y a bien-sûr parfois des petits moments où le moral n’est pas au top, par exemple après une compétition qui ne s’est pas déroulée comme prévu. Ma plus grande motivation dans ces moments-là, c’est d’analyser ce que j’ai fait de faux et de m’entrainer encore plus là-dessus.
Comme ça, on peut dire que je deviens plus forte grâce à mes points faibles !
Zoé Claessens, Villars-sous-Yens


Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?

Virginie
« En Suisse comme ailleurs, on se rend compte que la majorité des gens sont bienveillants et qu’on met trop en avant ceux qui sont médisants ! »

Laura
« Ce moment magique de la rencontre entre une oeuvre et des spectateurs me manque terriblement. Il y a quelque chose qui se passe qu’on ne peut pas définir, c’est au-delà des mots. »

Julien
« J’ai toujours ressenti l’envie d’être indépendant. De créer mon propre projet, un lieu qui me ressemble. »

Julien
« Avec plusieurs fractures au niveau du crâne, mon cerveau a été atteint et j’ai dû réapprendre à faire des phrases, à me faire comprendre. »

Noëlle et Chloé
« Habiter en pleine ville et devoir se promener sur des trottoirs, ce n’est pas pour nous ! »

Katia
« Une partie de notre travail se fait dans l’ombre. Ce n’est pas le Saint-Esprit qui nous dit quand on doit saler ou passer le chasse-neige, c’est l’un d’entre-nous qui se lève à trois heures du matin pour aller vérifier l’état des routes ! »

Maud
« Quand tu penses à l’immensité du monde, nos petits problèmes du quotidien peuvent paraître assez insignifiants. »

Manu
« Personnellement, je serais pour qu’on mange de la viande et du poisson une fois par semaine, mais qu’il vienne de chez nous et qu’il soit issu de la pêche responsable comme la pratiquent les pêcheurs suisses. C’est sûr que ça a un prix, mais c’est la valeur réelle de ces produits. »

Marie-Laure
« Je n’ai jamais été du genre à me jeter dans le vide sans filet, mais cette expérience entrepreneuriale m’a aussi appris à prendre des risques en ne contrôlant pas tout à 100%. »