Maud
Mon motto dans la vie, c’est d’essayer de réfléchir un petit peu plus large que notre quotidien et de me dire « en fait, c’est pas grave » plus souvent. Quand tu penses à l’immensité du monde, nos petits problèmes du quotidien peuvent paraître assez insignifiants. Sortir la tête du guidon, se dire qu’il y a pire.
Quelqu’un te crie dessus ? C’est pas grave, reste cool. Il y a d’autres choses plus importantes.
Maud, rencontrée au marché de Morges
Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?
Article
Jean-Marc
« Le boulot ne me fait pas peur, mon moteur c’est l’adrénaline d’être toujours en mouvement et de tester de nouvelles choses. »
Portrait
Delphine
« Je fais partie des gens qui pensent que l'histoire qu'ont nos objets nous font du bien au quotidien. Quand on se sent seul ou qu'on a un petit coup de blues, on regarde un objet et cela fait remonter du positif ! »
Portrait
Karla
« Chacun·e devrait être libre de pouvoir s’exprimer, et que ses opinions soient respectées comme elle devrait respecter celles des autres. »
Article
Katia
« Une partie de notre travail se fait dans l’ombre. Ce n’est pas le Saint-Esprit qui nous dit quand on doit saler ou passer le chasse-neige, c’est l’un d’entre-nous qui se lève à trois heures du matin pour aller vérifier l’état des routes ! »
Portrait
Christophe
« Ma vraie ambition, c’est d’être heureux. On m’a dit que je manquais d’ambition, mais pour moi, l’essentiel, c’est de cultiver la positivité et de profiter de la vie en faisant ce que j’aime. On peut dire que je suis un handicapé heureux ! »
Article
Célia
« Il faut se battre, il ne faut jamais se reposer sur ses lauriers. Il faut positiver, regarder devant. Au lieu de se plaindre on préfère garder notre énergie pour se projeter dans le futur ! »
Portrait
David
« Tout ce que je fais converge toujours vers un point : rendre les choses simples, accessibles et justes. C’est un travail d’équilibre, mais c’est là que je trouve du sens. »
Portrait
Baka
« Quand à cause de la guerre tu es en danger de mort en permanence, que tu dois fuir ton propre pays pour te réfugier ailleurs, c’est vraiment difficile à vivre. Je ne le souhaite à personne. »
Morges
Cyclistes