Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?
Articles et portraits dans la série Commerçant·e·s
Passionné·e·s, les commerçant·e·s travaillent d’arrache-pied pour nous proposer un service sans faille. Partez à leur rencontre !

Jean-Marc
« Le boulot ne me fait pas peur, mon moteur c’est l’adrénaline d’être toujours en mouvement et de tester de nouvelles choses. »

Marie-Laure
« Je n’ai jamais été du genre à me jeter dans le vide sans filet, mais cette expérience entrepreneuriale m’a aussi appris à prendre des risques en ne contrôlant pas tout à 100%. »

Baka
« Quand à cause de la guerre tu es en danger de mort en permanence, que tu dois fuir ton propre pays pour te réfugier ailleurs, c’est vraiment difficile à vivre. Je ne le souhaite à personne. »

Manu
« Personnellement, je serais pour qu’on mange de la viande et du poisson une fois par semaine, mais qu’il vienne de chez nous et qu’il soit issu de la pêche responsable comme la pratiquent les pêcheurs suisses. C’est sûr que ça a un prix, mais c’est la valeur réelle de ces produits. »

Emilie et Jonas
« J’ai l’impression de ne pas vraiment travailler alors qu’on passe tout de même dix heures par jour six jours sur sept, et ça c’est plutôt bon signe ! »

Julien
« J’ai toujours ressenti l’envie d’être indépendant. De créer mon propre projet, un lieu qui me ressemble. »

Germain
« J’ai la chance d’avoir eu des parents très respectueux et une maman très présente avec mes 6 frères et soeurs. »

Alexandre
« Le temps, c’est ce que l’on a de plus précieux car on ne peut pas l’acheter ni le rattraper. »

Emre
« Mon challenge, autant professionnel que privé, c’est d’amener du bien dans tout ce que j’entreprends. J’essaie de créer un monde meilleur à l’échelle locale.  »

Thomas
« J’ai changé d’employeur et je me suis rendu compte que d’avoir du temps libre et une qualité de vie n’avait pas de prix ! »

Sandra
« Quand je fais face à un échec, je me dis à chaque fois que c’est une opportunité d’un nouveau départ. »

Walter
« À mon retour en Suisse, je me suis presque interdit de boire du café tellement il ne me convenait pas. Alors je me suis dit, pourquoi ne pas le faire moi-même ? »