Emre
Mon challenge, autant professionnel que privé, c’est d’amener du bien dans tout ce que j’entreprends. J’essaie de créer un monde meilleur à l’échelle locale. Proposer de la nourriture plus équitable, faire plus attention à l’environnement, aider les gens à profiter de la vie en s’épanouissant dans un cadre pro/privé agréable… Mais tout ça à notre niveau, dans notre région. Non seulement parce que j’aime le côté de fêter les petites réussites et voir avancer les choses rapidement, mais surtout car à mon avis, il vaut mieux viser simple que de voir trop grand. Ça permet de réaliser des choses plus vite et de valider des idées avant de les appliquer à plus grande échelle.
Emre, rencontré à Coworking Society à Morges
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Julien
« Avec plusieurs fractures au niveau du crâne, mon cerveau a été atteint et j’ai dû réapprendre à faire des phrases, à me faire comprendre. »
Maud
« Quand tu penses à l’immensité du monde, nos petits problèmes du quotidien peuvent paraître assez insignifiants. »
Karla
« Chacun·e devrait être libre de pouvoir s’exprimer, et que ses opinions soient respectées comme elle devrait respecter celles des autres. »
Laurène
« La vie m'a appris à laisser faire les choses tout en étant structurée dans mes objectifs. J'ai des projets, des rôles que je rêve d'interpréter, des scènes sur lesquelles je souhaite me produire, mais je suis aussi ouverte aux surprises que la vie me réserve. »
Caroline
« Je préfère concrétiser, sécuriser des petites choses sur un modèle d’amélioration continue plutôt que de tout révolutionner du jour au lendemain. »
Delphine
« Je fais partie des gens qui pensent que l'histoire qu'ont nos objets nous font du bien au quotidien. Quand on se sent seul ou qu'on a un petit coup de blues, on regarde un objet et cela fait remonter du positif ! »
Laura
« Ce moment magique de la rencontre entre une oeuvre et des spectateurs me manque terriblement. Il y a quelque chose qui se passe qu’on ne peut pas définir, c’est au-delà des mots. »
Tiziano
« J’aime les gens, les rencontrer, leur parler, les faire rire… et cette année, je souffre pas mal de ne pas pouvoir le faire. »
Manu
« Personnellement, je serais pour qu’on mange de la viande et du poisson une fois par semaine, mais qu’il vienne de chez nous et qu’il soit issu de la pêche responsable comme la pratiquent les pêcheurs suisses. C’est sûr que ça a un prix, mais c’est la valeur réelle de ces produits. »