Thomas
Après les études, j’ai vite senti que je n’étais pas fait pour étudier. Dans mon premier job, j’étais un peu carriériste ; si mon boss partait, je voulais sa place. C’est assez logique, tu as envie de progresser, de monter les échelons. Ensuite j’ai changé d’employeur et je me suis rendu compte que d’avoir du temps libre et une qualité de vie n’avait pas de prix : des horaires convenables, prendre le temps de voir mes enfants, les voir grandir…
Mon job actuel me permet de toucher à tout et m’offre une liberté dans la façon de travailler en ayant un impact sur l’entreprise et ses employés. Le tout en respectant la balance pro/privé ; c’est génial de pouvoir passer du temps avec ma famille et de participer activement à l’éducation de mes enfants. Avec eux, c’est du donnant-donnant ; les emmener faire du camping, se balader, c’est précieux et ils nous le rendent bien !
Thomas, rencontré au Trend Shop de François Sports
Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?
Portrait
Manu
« Personnellement, je serais pour qu’on mange de la viande et du poisson une fois par semaine, mais qu’il vienne de chez nous et qu’il soit issu de la pêche responsable comme la pratiquent les pêcheurs suisses. C’est sûr que ça a un prix, mais c’est la valeur réelle de ces produits. »
Portrait
Sophie
« Avec le yoga, j’essaie d’amener les gens à ressentir plus de gratitude, à être contents de ce qu’ils ont déjà, reconnaissants de tout ce qui est déjà là plutôt que de toujours chercher plus.  »
Article
Marie-Laure
« Je n’ai jamais été du genre à me jeter dans le vide sans filet, mais cette expérience entrepreneuriale m’a aussi appris à prendre des risques en ne contrôlant pas tout à 100%. »
Portrait
Laetitia
« Quand on est dans l’ambiance du voyage, je ne sais pas si on est conscient de tout ce que l’on fait. Avec le recul, ça parait un peu fou, trois étudiantes seules dans une aventure pareille, je ne sais pas si on le referait ! »
Portrait
Amélie
« Quand on parle de réussite, on pense souvent à l’aspect professionnel et au regard des autres, alors qu’au final les critères de notre réussite doivent être fixés par nous-même et personne d’autre. »
Portrait
Pierre-Antoine
« Avec le temps, certains de mes voisins ont développé une allergie au jazz manouche, du coup je viens jouer dans ce magnifique parc pour ne pas les déranger. »
Portrait
Emilie et Jonas
« J’ai l’impression de ne pas vraiment travailler alors qu’on passe tout de même dix heures par jour six jours sur sept, et ça c’est plutôt bon signe ! »
Article
Tiziano
« J’aime les gens, les rencontrer, leur parler, les faire rire… et cette année, je souffre pas mal de ne pas pouvoir le faire. »
Article
Katia
« Une partie de notre travail se fait dans l’ombre. Ce n’est pas le Saint-Esprit qui nous dit quand on doit saler ou passer le chasse-neige, c’est l’un d’entre-nous qui se lève à trois heures du matin pour aller vérifier l’état des routes ! »
Morges
Commerçant·e·s